« Gaëlle Josse saisit avec justesse les instants fragiles d’une vie sur le fil. (…) Apprendre à s’aimer n’est jamais inné, Gaëlle Josse nous le rappelle dans un roman vivifiant. »
Alice Develey, Le Figaro
« Avec une grande délicatesse, la romancière accompagne la remontée de cette nageuse qui a touché le fond. Et qui retrouve, avec une lucidité nouvelle, l’élan vers un vrai départ. »
Monique Petillon, Le Monde des Livres
« Riche de questions plus que de réponses, interrogeant les ressources intimes des êtres, Ce matin-là sonne juste, autant par son humilité que par le souci des minuscules événements : ceux qui, par temps gris, suffisent à faire danser dans l’air quelques grains de lumière. »
Emmanuelle Giuliani, La Croix
« Un roman qui l'emporte en force, en joie, en beauté.»
Sandrine Mariette, ELLE
« Ce matin-là parle de lent dégel et de renaissance, de remontée vers la lumière grâce à l’amitié : ce court roman d’une grande justesse est une invitation à renouer avec ses rêves, à être fidèle à soi-même pour réinventer, peut-être, une vie à sa mesure. »
Anne Pitteloud, Le Courrier Suisse
« Septième roman de Gaëlle Josse, il confirme son talent de raconteuse d’histoires au style ciselé, sensible, aussi intimiste qu’impressionniste. Venue à l’écriture par la poésie, cette auteure manie toujours les mots avec brio pour conjurer les maux. »
Delphine Peras, L’Express
« Avec une langue cadencée et très imagée, Gaëlle Josse prend le temps de décrire admirablement l’état dans lequel sombre Clara, son incapacité de bouger, son enfermement, le vide qui s'impose à elle, la solitude, son mutisme, le plus rien. »
Clémence Roux, Marie France
« Un récit universel de nos sociétés modernes, qui a le mérite d’interroger sans en avoir l’air nos choix personnels, nos désirs, et les fausses routes que l’on fait parfois, ainsi que les moyens de sortir du labyrinthe pour retrouver la lumière. »
Caroline Azzopardi, France Télévisions
« Gaëlle Josse nous offre une partition magnifique, sans pathos, qui, avec des mots justes et sensibles, accompagne son héroïne de la face sombre de la dépression à celle, lumineuse, d’une nouvelle vie. »
A.M., Version Femina
« Tout comme l'allure de son personnage, l'écriture sensible de Gaëlle Josse progresse par petites touches, pas à pas. Josse ajuste son écriture à ce crépitement douloureux, et fait mouche. »
Victorine de Oliveira, La Vie
« De son écriture sensible et élégante, Gaëlle Josse dit le vertige lorsque la mécanique du quotidien se grippe et que tout s’arrête. Un livre précieux et, finalement, réconfortant. »
Vigousse
« Gaëlle Josse dresse avec justesse le portrait d'une femme en perdition, d'une femme perdue dans le tourment d'une tempête violente et inattendue. Avec une économie des mots, une langue pure et touchante, elle raconte l'universel de nos vies, la possibilité de basculer un jour dans les méandres de la dépression, mais aussi de prendre de l'altitude avec ces petites choses qui font la beauté de notre existence. »
Julien Laparade, Librairie Dialogues, Brest
« Gaëlle Josse dédie son roman "À ceux qui tombent". Cette dédicace, si simple, en dit beaucoup. Gaëlle Josse a des yeux qui regardent et un écrivain qui sait regarder est capable de voir l'invisible. C'est l'histoire d'une chute, d'une hibernation et d'un réveil. C'est si juste, si beau. »
Stéphanie Hanet, Librairie Coiffard, Nantes
« Le cœur vacille dès les premiers mots de Gaëlle Josse dans ce nouveau récit, entre pudeur et délicatesse. »
Librairie de Paris, Paris 17
« Je l’ai lu d’une traite, comme toujours, je suis admirative de son écriture, si fluide et à la fois poétique. Ce texte est très fort ! »
Roxanne Allouche, Librairie des Cyclades, Saint-Cloud
« Une nouvelle fois, Gaëlle Josse trouble, émeut et touche au cœur. »
Sébastien, Librairie des Halles, Niort
« Jamais déçue par Gaëlle Josse depuis Les heures silencieuses, elle prouve à nouveau tout son talent. Beau, humain et juste »
Valérie Caffier, Le Divan, Paris 15
« C’est toute la complexité et la simplicité de la vie. Un rien qui défait tout. Il suffit d’un instant, d’un mot, d’un geste et tout bascule. Il faut toute la sensibilité, l’intelligence, la poésie de Gaëlle Josse pour dresser un portrait aussi lumineux d’une femme face aux ténèbres. »
Virginie, FNAC Boulogne
« Gaëlle Josse dépeint le portrait juste d’un cycle infernal enfermé dans les maux du nouveau siècle : celui du travail. Elle dénonce, dans ce roman ô combien social, la violence sournoise du monde de l’entreprise où Clara se débat pour se reconstruire et être enfin libre. »
Librairie des Batignolles, Paris
« Quand les brûlures de l’âme font ressurgir le désir de vie. Le talent de Gaëlle Josse est d’être capable, en une grande prouesse, de mettre des mots justes sur cette dépossession du corps et des émotions. »
Yasmina Giaquinto, librairie du Baobab, Martigny