« La langue de Giosuè Calaciura est unique, objectivement unique : c’est une langue très belle, dense, poétique, baroque, traversée de constantes inventions métaphoriques. »
Jérôme Ferrari
« Borgo Vecchio est un roman qui dit tout à la fois le sublime et le grotesque, la pauvreté et la richesse, la douceur et la violence. »
Florence Bouchy, Le Monde des Livres
« Borgo Vecchio est un texte si fort, une histoire si prenante et une création si accomplie que l’on se sent bien impuissant à en restituer l’intensité. Que peuvent nos mots ordinaires pour traduire sa puissante incandescence ? »
Emmanuelle Giuliani, La Croix
« Comme ceux de Milena Agus, les romans de Giosuè Calaciura sont des fables délicates dont les héros, perdants magnifiques, s’efforcent de frayer leur chemin vers une hypothétique terre promise. […] Porté par une prose sculptée et poétique dont les incursions dans le réalisme magique donnent à certains passages une intensité dramatique époustouflante, Borgo Vecchio raconte la violence et la solidarité d’un quartier pauvre. »
Véronique Cassarin-Grand, L’Obs
« Il y a le meilleur de Garcia Marquez dans la prose canaille et tendre de Giosuè Calaciura (remarquablement traduite), où le réalisme magique reste en sourdine. Quelque chose aussi de la fantaisie débridée de sa compatriote sarde Milena Agus. Alliant le poétique à l'épique, le tragique au comique, Borgo Vecchio célèbre une humanité à toute épreuve. »
Delphine Peras, L'Express
« Sous la plume de Giosuè Calaciura, un quartier de Palerme et le nœud inextricable de ses venelles médiévales deviennent le décor surnaturel d'un conte. (…) Malgré sa brièveté ce roman possède la dimension d'un opéra. Un authentique mélodrame, populaire et raffiné, sombre mais rieur, qui vous donne instantanément envie de (re)voir Palerme et de lire (car c'est aussi une ode à la littérature et à son pouvoir de susciter des images). Cette fantaisie pourrait ne faire qu'éblouir, si elle n'était profondément humaine et nous touchait au cœur. »
Julien Burri, Le Temps
« Si l’auteur évoque sans fards injustices et maltraitance, son écriture n’est pas clinique pour autant, au contraire. Lyrique et métaphorique, traversée de fulgurances poétiques, elle ne craint ni le pathos ni le mélodrame. »
APD, Le Courrier suisse
« La plume du journaliste italien Giosué Calaciura, ses envolées lyriques, sa poésie, donnent à ce court récit une puissance narrative unique. Tel un magicien, il déniche la lueur d’espoir, si mince soit-elle, dans un monde sombre où chaque pas de plus de ses protagonistes les rapproche d’un funeste dénouement. »
Jérémy Chatet, Le Progrès
« Il y a la magie de la parole de Calaciura, qui continue de nous émerveiller, roman après roman (dans la traduction toujours magistrale de Lise Chapuis), seul antidote à l’horreur d’un monde sans espoir sinon celui de la fuite, celle qui détruit les ponts derrière elle pour s'empêcher toute idée de retour. »
Riccardo Borghesi, L’Italie à Paris
« Calaciura fait du merveilleux un insolent remède à la misère, et du miracle une ultime échappée belle pour les plus démunis. Sous sa plume, la fresque sociale devient un opéra fabuleux. (…) Chaque fois, l’émotion surgit, inédite, éblouissante, parce que l’auteur sait s’emparer du trivial comme d’un bout de métal susceptible, après friction et polissage, d’acquérir une dimension poétique, fabuleuse. »
Claro, Le Clavier Cannibale
« Une écriture tout en majesté, inventive, puissante, parfois magique. La mécanique de l’intrigue est savamment mise en place, jusqu’au drame final. Lequel se sera nourri en chemin de violence comme d’éclats, de générosité comme de félonie, de bienveillance comme de traîtrise. »
Geneviève Simon, La Libre Belgique
« On retrouve en effet dans ce court et intense roman à l’écriture peaufinée cette démesure fabuleuse, caustique et visionnaire de l’auteur qui lui permet de dire la cruauté et la tristesse de la réalité sans sombrer dans le moralisme ni le misérabilisme. Ainsi que son humanité, particulièrement dans ce texte où ''l’enchantement de la tendresse'' affleure miraculeusement des principaux protagonistes. »
Emmanuelle Caminade, La Cause littéraire
« On frémit, on s’émeut, on rit ou se révolte, face à la réalité à la fois tendre et cruelle du Borgo Vecchio semblable à la vie même, on se laisse emporter par la langue sans pareille de Giosuè Calaciura et on referme ce livre totalement conquis. À découvrir absolument ! »
Dominique Baillon-Lalande, Encres vagabondes
« Borgo Vecchio de Giosuè Calaciura est un enchantement. Dès la première page on est enveloppé par les phrases, les mots, les sensations, comme une brume. Une brume qui a ''la consistance des contes''. »
Frédéric Tué, Librairie l’Odyssée, Saint-Malo
« Giosuè Calaciura confirme son talent avec ce court roman, ponctué de scènes cocasses et tragiques, amenant le lecteur vers l'apothéose. »
Valérie Ohanian, Librairie Masséna, Nice
« Calaciura maîtrise tous les registres. Il nous offre un roman au rythme à la fois doux et effréné que l'on ne peut lâcher avant la dernière page. »
Manon, La Librairie polonaise, Paris
« Giosuè Calaciura n’a pas son pareil pour raconter des histoires. […] L’auteur ne nous épargne pas et nous montre également la misère économique, la morale douteuse, la corruption qui gangrène le pays. Un roman court et efficace pour un vrai moment de plaisir. »
Judy Manuzzi Librairie Prado Paradis (Marseille), Page des Libraires
« Borgo Vecchio est une fable mélodramatique qui fait penser aux œuvres les plus visionnaires de García Márquez. Le portrait d’une insularité méditerranéenne magique et extrême. »
Goffredo Fofi, Internazionale
« Une écriture qui ne fait pas semblant, ne cligne pas des yeux, ne joue pas à se laisser deviner, mais qui lacère, pénètre, gifle, vous revient au visage avec le ressac, contre-braque, hurle. C'est une écriture vivante. »
Giacomo Di Girolamo
« Un lyrisme d’une puissance bouleversante.»
Marcello Benfante, Repubblica Palermo
« Un roman éblouissant, violent et beau. À lire avec soin. »
Lombardia Oggi