Les Dernières lettres de Montmartre déploient, à travers une série de missives écrites par une narratrice sans nom, les tours et détours d’une relation amoureuse entre deux jeunes femmes.
Éveil à la sexualité, passion dévorante, ruptures incessantes… Tout y passe, de la découverte de l’autre à l’expérience insoutenable de son absence. Entre Paris, Taipei et Tokyo, se dessine en creux une réflexion sur le brassage (souvent ardu) des cultures, des langues et des genres.
À la croisée de Confession d’un masque de Mishima et des Souffrances du jeune Werther, ces Dernières lettres de Montmartre font de Qiu Miaojin une des étoiles filantes les plus remarquables de la littérature taïwanaise et chinoise.