« Ce splendide premier roman de Ludmila Charles distille une mélancolie, une torpeur slave qui gagne également le lecteur survolant la vie d'Elena et l'incite à se replonger dans ses propres souvenirs et à s'interroger sur ses propres choix. »
Tamara Bongard, La Liberté
« Avec La belle Saison, Ludmila Charles nous livre un premier roman resserré, empreint de nostalgie pour un passé qui n’est plus. Ses personnages discrets, à la mélancolie diffuse, sont autant de preuves que "la vérité était sèche et coupante comme une herbe en été". »
Camille Cloarec, Le Matricule des anges
« Porté par une langue directe et fluide, La belle saison diffuse un parfum de nostalgie et mène sur les traces d’un paradis perdu. »
Marc-Olivier Parlatano, Le Courrier Suisse
« La belle saison est un texte plein d’une poésie délicate et triste, celle qui fait des instants de l’existence des moments d’insignifiance pourtant remplis de sens. (…) Il y a une douceur infinie à se laisser couler dans la lente mais sûre dépossession de soi. (…) Ludmila Charles, par l’élégance et la subtilité de son écriture, fait de cette femme un personnage d’une beauté à pleurer. »
Gabrielle Napoli, En attendant Nadeau
« L’écriture légère et douce de Ludmila Charles dévoile peu à peu un trio de femmes à travers leurs âges, leurs épreuves, leurs vies, leurs secrets. Ce beau et court roman vous portera de la France à l’URSS par des chemins inattendus qui nous conduisent adroitement à un dénouement subtil. Une pépite de cette rentrée, pour un premier roman lumineux et marquant. »
Christelle Chandanson, Librairie Elkar, Bayonne
« Dans ce récit qui nous plonge au cœur de hautes solitudes, où la nostalgie est avant tout l'empreinte des choses chéries, l'autrice réconcilie la rudesse et la joliesse du monde. En encapsulant avec grâce la fuite du temps et en se distanciant du texte par un ton doux-amer, elle nous prémunit des dangers d'une vie en sourdine. L'émotion est immédiate, sans profusion inutile. »
Sarah Gastel, Terre des Livres, Lyon
« Ludmila Charles tire un récit touchant qui saisit à merveille le sentiment infime du temps qui passe. »
Stéphane Babey, Vigousse