« L'un joue les “fils outrés”, et l'autre, les “pères excédés” dans un psychodrame aux sutures magnifiques, et dont la gêne évoque Robert Walser. »
Eric Loret, Le Monde
« Après La chance que tu as, Denis Michelis confirme qu’il est l’une des découvertes majeures de ces dernières années. Virtuose, machiavélique, sensible, émouvant, terriblement dérangeant, il ose tout, il dit vrai et il dit fort. »
Jacques Lindecker, L’Alsace
« Le ton est donné, exagéré. Le bon fils, deuxième roman de Denis Michelis après La chance que tu as (Stock, 2014), est une sorte de conte de fées exaspéré et paranoïaque où manqueraient longtemps les fées. »
Mathieu Lindon, Libération
« Denis Michelis (…) semble s'amuser comme un diable avec cette histoire, excellant à bâtir un objet littérairement très efficace, à la croisée du théâtre de l'absurde, du thriller et de la comédie familiale. »
Estelle Lenartowicz, Lire
« Personnages inquiétants, loufoques, fragiles, mélange de polar et de récit onirique, phrases syncopées, souvent courtes, parfois sans verbes, voilà une puissante fiction par laquelle Denis Michelis confirme ses talents de conteur-moraliste qui nous avaient impressionnés (…). Là encore la souffrance des plus faibles trouve sous sa plume des accents de tragédie antique. Et c’est superbe ! »
Jean-Rémy Barland, La Provence
« Michelis maîtrise sur le bout des doigts la tension psychologique, voire psychanalytique de son intrigue, au point qu'on s'effare souvent, sans jamais lâcher le fil, de tout ce qu'elle réserve au lecteur. »
Focus Vif
« On pense à la noirceur perverse aux franges de la folie d’une Elfriede Jelinek. »
Véronique Rossignol, Livres Hebdo
« Un roman splendide (...) une histoire intrigante et troublante (...) qui va vous faire réfléchir très longtemps. »
Grégoire Courtois, La Librairie francophone
« Le bon fils confirme l’habileté de son auteur à rendre sensible la violence du langage, dans une langue épurée et légère, ce qui n’est sans doute pas le seul paradoxe de ce texte. »
Gabrielle Napoli, En attendant Nadeau
« Un style d'une pureté et d'une efficacité redoutables. C'est merveilleusement délicat et terrifiant à la fois. »
Sophie Divry
« Le bon fils se joue à l'envi des genres littéraires : sa structure en actes, l'omniprésence des dialogues, sont rapidement rejoints par le conte et le roman fantastique. (…) Il y a du Horla ici, dans la présence persistante, crainte et désirée à la fois de Hans. Il y a du Dracula de Bram Stoker dans ses déplacements rapides et invisibles pour l'œil humain. »
Virginie Mailles Viard, Le Matricule des Anges
« Denis Michelis signe une fable à l’atmosphère lourde et étrange, qui réinvente le pacte avec le diable pour faire du garçon “un bon fils”, quel qu’en soit le prix. »
Marie Michaud, Librairie Gibert Joseph (Poitiers), Page des Libraires
« Un conte œdipien enchanteur et cuisant. »
Grazia
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