« On peut s’interroger sur les raisons de l’étonnant succès de librairie d’un livre qui ne s’accorde aucune facilité et qui a su créer, entre son auteur et ses lecteurs, un formidable courant de sympathie. Cela tient d’abord au caractère de témoignage que revêt ce roman : non seulement les personnages historiques qui le traversent, mais tous les événements historiques sont absolument et rigoureusement vrais. Mais Eugenio Corti a écrit aussi un très grand roman. Son souffle épique, la variété des registres stylistiques, la vérité et la puissance des passions emportent le lecteur dès les premières pages. Sans doute destiné à résister à l’épreuve du temps, Le Cheval rouge fait songer à Manzoni, ainsi qu’aux grands romanciers russes, à Tolstoï en particulier. »
François Livi, extrait de la postface
« Certains parlent d’un Guerre et Paix italien. D’autres comparent le travail de Corti à L’Archipel du Goulag. Oui, il y a du Soljénitsyne dans sa volonté de raconter l’irracontable, d’écrire le mal, et le souffle de Tolstoï dans l’art de mêler ses personnages à la grande histoire. »
Pierre Adrian, Le Figaro Littéraire
« C’est une drogue dure une fois que vous l’aurez commencé […] C’est un monument. »
Gérard Collard, Sud Radio, Les coups de cœur des libraires
« On ne sort pas vaincu de l’œuvre d’Eugenio Corti. Au contraire, elle porte en elle une conviction profonde : les hommes sont meilleurs que leurs idées. »
Pierre Adrian, Le Figaro littéraire
« Un des romans les plus poignants jamais écrits sur la Deuxième Guerre mondiale. »
Brice Couturier, Le Tour du monde des idées, France Culture
« Anachronique au sens noble du terme, torrentiel et en même temps ordonné, émouvant avec intelligence, Le Cheval rouge se révèle comme l’une de ces lectures qui nourrissent l’âme et qui vous marquent à jamais. »
Christopher Gérard, Archaion
« Le lecteur est happé et entraîné. Comme dans les livres d’Ernest Hemingway, on se dit : voilà un témoin qui a tout vécu de ce qu’il raconte, ne nous ment pas, n’est jamais dogmatique et a su transformer ses douleurs en œuvre d’art. »
G.C., Historia
« Le Cheval rouge est une grande œuvre qu’on a comparée à L’Archipel du Goulag d’Alexandre Soljenitsyne, ou encore à Vie et Destin, de Vassili Grossman, et il vaut la peine de la traverser dans toute son ampleur. »
Isabelle Rüf, Le Temps
« De cette épopée à la fois familière et tragique d’une génération sacrifiée se dégage, en dépit de tout, un saisissant concentré d’humanité, que la lumière de l’espérance ne cesse jamais tout à fait d’illuminer. Redécouvrir ce chef-d’œuvre presque quadragénaire, construit d’une main sûre et d’une plume d’artiste, fut l’un des rares bienfaits de ce confinement. »
Laurent Theis, Le Point – Palmarès des 30 livres de l’année 2020
« Le Cheval rouge a beau avoir quarante ans : il est d'une totale actualité. »
Pierre Rigoulot, Institut d'histoire sociale, www.histoireetliberte.fr
« Une œuvre magistrale. »
Jean-Marc Gonin, Le Figaro magazine