« Ce qui emporte, dans L'Été infini, c'est le flux de la jeunesse – le flux de la jeunesse disparue. »
Mathieu Lindon, Libération
« Le ton est proustien, il y a aussi quelque chose de la haute enfance narrée dans Les Cahiers de Malte Laurids Brigge de Rilke. La phrase est ample, ondoyante, envoûtante, elle vous enveloppe dans sa clarté boréale, lumière de franchise spécieuse sous laquelle s’ourdissent tous les secrets. »
Sean J. Rose, Livres Hebdo
« Il y a un souffle qui traverse ce texte court et pourtant si dense, une respiration qui s'immisce entre les paragraphes et met le lecteur au diapason. Des phrases longues pour un texte court, la virtuosité lumineuse d'une styliste pour raconter Ie verdict sans appel de la fin de l'innocence ou la cruelle poésie du paradis perdu... »
Marie-Madeleine Rigopoulos, Transfuge
« C’est beau, c’est âpre, c’est lumineux. Si vous aimez les phrases courtes et factuelles, passez votre chemin. Madame Nielsen vous emmène dans un ailleurs de mots. Là où ils rencontrent l’espace, le temps, la poésie ; pour nous décrire, comme une comète fugace dont la chevelure s’étire pour l’éternité, une histoire de jeunesse, d’amour et de mort. »
Béatrice Putégnat, Librairie Les Cyclades (Saint-Cloud), Page des Libraires
« À la fois romantique et sombre, ce roman n’est pas seulement sur les tristes illusions de la jeunesse, mais aussi une histoire d’amour dévorante avec la mort. »
Carsten Jensen
« L'Été infini de Nielsen est une découverte littéraire. En tant que lecteur, je me sentais entraîné par le flux du récit, de la sagesse et de l'humour du narrateur, qui d’une voix, bien que totalement intemporelle, est marquée par une vision contemporaine intense. Comme auteur, j’envie l’écriture magistrale de Nielsen, son exactitude et sa présentation audacieuse et douce-amère de la mélancolie de l'existence. Son roman est un été sans fin d’espoirs perdus qui ne cesseraient de revenir. »
Sjón
« C’est une narration captivante sur le destin... Je me sens complètement fasciné. [...] Dans ce bref roman de Madame Nielsen sur le temps et l’amour, le destin est dur et la syntaxe attractive. [...] Nous entrons dans cet été comme dans un bain de jours dorés, le temps de la jeunesse, le temps qui ne passe pas et dans lequel nous flottons, un paradis d’avant la chute. [...] La voix que Beck-Nielsen a choisie pour se placer lui-même dans cet Été infini, est une voix féminine extraordinairement captivante. »
Politiken