« Un roman extrêmement tendre, d’une rare tendresse, envers des personnages et un âge qu’on ne voit quasiment jamais dans la littérature française. C’est très beau, ce tableau de jeunes dans les périphéries, ces âmes perdues qui se cherchent. Il se passe beaucoup de choses dans ce livre, mais avec jamais une phrase de trop, avec peu de moyens mais tant de justesse. C’est d’une grande densité, d’une grande précision, et c’est ça qui rend la lecture nécessaire, touchante, vive. »
Sophie Divry
« Les vies sous-jacentes, celles qui passent sous les radars, les mineures, les nouvelles, le roman doit les dire, c'est sa raison d'être. Et pour cela, tenter d'inventer chaque fois une langue qui le pourra. Voilà ce que fait Delsaux, vite, fort, il invente une langue qui est comme un couteau papillon, qui se plie et se replie sans cesse, virevolte et blesse pour finir. »
Nicolas Mathieu
« Dans un style oral incrusté d’instantanés poétiques, avec une grande justesse de ton et une écriture souvent inventive, l’auteur donne voix à Abdoul, le poète du trio, pour permettre d’entendre et de voir ces adolescents des classes populaires, ni urbains ni banlieusards, ni délinquants ni fanatisés. »
Virginia Bart, Le Monde des Livres
« Aurélien Delsaux raconte avec justesse et tendresse le quotidien de cette bande de potes, rythmé par l’ennui et le désir d’ailleurs. »
Jérémy Chatet, Paris Normandie
« Aurélien Delsaux tire un coup sec sur la langue de l’enfance, saisit l’oralité d’une culture qui fait la nique au hors-jeu, au pas de chance. »
Le Vif / L’Express
« Pour Luky décrit la vie d’ici, et l’extraordinaire de nos vies ordinaires. »
Martine Crasez, Le Dauphiné Libéré
« Un tableau tendre et bienveillant des jeunes de la France périphérique. »
Maud Guillot, Mag2 Lyon
« L’auteur séduit une nouvelle fois par sa capacité à se faire le porte-voix sensible des invisibles. Aurélien Delsaux a été professeur. On imagine qu’il a aussi été attentif à la beauté des échanges, à leur spontanéité et à ce qu’ils portent en eux d’indicible tant son livre est électrique. Il transmet de l’énergie. »
Page des libraires, Cyrille falisse, librairie Lo Païs
« Aurélien Delsaux donne corps à ces voix, ces destinées fragiles qui s'écrivent en écho, au même rythme qu'une langue, sensorielle, incisive, qui se réinvente à chaque page, comme un ruban d'histoires et d'imaginaires qu'on déroule sur un fil tendu. Pour Luky est de ces histoires simples et touchantes qui effleurent et bousculent avec une infinie justesse, la cartographie sociale et poétique d'une jeunesse qui s'échappe et la mélancolie des exils intérieurs de l'adolescence... Magnifique, Déchirant !!! »
Mathieu Lartaud, librairie Decitre
« D'un trait, Aurélien Delsaux réussit à donner à ses personnages, en plein cœur des tourments amoureux, amicaux et existentiels propres à cet âge, une vraie vivacité. Un récit incarné et bienveillant ! »
Le Comptoir des mots
« Ce roman social, profondément juste et humain n'est pas sans rappeler celui de Nicolas Mathieu, dans l'analyse très fine de la jeunesse actuelle, et dans la qualité de son écriture. »
Atout Livre
« Aurélien Delsaux parvient en peu de mots à rendre toute leur profondeur à des adolescents qui essaient de ne pas perdre pieds entre les exigences des parents, des profs et celles de leurs désirs. Tendre, subtile et lumineux. »
Manon, La librairie polonaise
« Un regard d’une infinie tendresse que ce professeur de collège jette sur ces jeunes adolescents que nous connaissons pour les voir s’ennuyer dans les abribus ou sur les bancs des squares. Un tableau qui va bien plus loin que les apparences sur lesquelles nous jugeons. »
Librairie du Théâtre
« Aurélien Delsaux parvient à nous transmettre la sensibilité et la tendresse. Un grand coup de cœur ! »
Emma, librairie Le grenier
« Des mots qui claquent et qui croquent, des chocs de phrases, des raccourcis, l’invention des images. Et il y a la ponctuation, neuve et inventive. Aurélien Delsaux réinvente littéralement le tiret. À lire !!!! »
Marie-Ève, librairie Paroles
« Un roman dont certains aspects sont certainement autobiographiques et c'est tant mieux car il faut assurément avoir vécu au plus près de ces ados pour être capable de les décrire, de les faire vivre, espérer, souffrir, aimer et haïr de si belle manière. Un roman d'une grande pudeur et surtout d'un grand respect pour cette jeunesse un peu paumée et qui vaut tellement mieux qu'on veut bien le dire ! »
Anastasia, libraire sur Fnac.com