« Comme on révèle une photo dans une chambre noire, Gaëlle Josse dévoile progressivement le portrait d’une artiste de la trempe d’une Camille Claudel ou d’une Séraphine de Senlis. Les femmes obsédées par leur art font peur, c’est ce que Gaëlle Josse retrace dans ces pages graves, reliant des blancs et des silences pour ressusciter une absente. »
Olivia de Lamberterie, Elle
« Gaëlle Josse esquisse une biographie exemplaire, discrète et subtile. C’est un livre très attachant parce que la romancière des Heures silencieuses (Autrement, 2011) superpose son propre regard à celui de la photographe : une même passion des visages – de ce qui s’y lit, de ce qui se dérobe. »
Monique Petillon, Le Monde des livres
« Gaëlle Josse retrace d’une plume élégante le destin de cette Américaine d’origine française, lestée d’un fatum familial éprouvant. Ce livre lui rend un hommage émouvant. Mérité. »
Delphine Peras, L’Express
« Une plume tendre et vivante »
Bernard Babkine, Madame Figaro
« Gaëlle Josse remplit à sa manière les blancs de cette existence à la fois discrète et miséreuse, une drôle de dame à l’enfance tragique, sauvée par sa passion. Il fallait une plume sensible, retenue, pour se lancer à la poursuite de cette femme insaisissable. »
Laurence Caracalla, Figaro Magazine
« Gaëlle Josse s’empare de cette histoire avec ses zones d’ombre et ses nombreuses questions sans réponses. Un beau livre sur le dévoilement et la révélation, au centre de la démarche de Gaëlle Josse. »
Sophie Joubert, L’Humanité
« Comme Vivian Maier, la romancière capte la moindre émotion, le ''je'' des personnages, qu’elle réinvente pour mieux recomposer leur réalité. »
Adeline Fleury, Le Parisien Week-end
« Un roman délicat et très émouvant. »
Oriane Jeancourt Galignani, Transfuge
« Gaëlle Josse signe un texte attachant et passionnant. C’est une nouvelle pierre à l’édifice magnifique et sensible qu’elle construit avec talent et délicatesse. »
Delphine Bouillo, Librairie M'Lire (Laval), Page des libraires
« Pour les amateurs de photos mais aussi d’incroyables histoires vraies. Et aussi pour les amateurs de belles écritures, car Gaëlle Josse est très douée ! »
Librairie Mots en marge (La Garenne-Colombes)
« La romancière va au-delà de l’anecdote et s’interroge sur la célébrité, le destin, la solitude. On referme le livre la gorge serrée. »
Christilla Pellé-Douël, Psychologies Magazine.
« Venue à l’écriture par la poésie, l’écrivaine évoque avec sensibilité Vivian Maier, cas unique dans l’histoire de la photographie. (…) un portrait poignant et passionnant. »
Anne Michelet, Version Femina.
« Vivian Maier, morte dans l’ombre, ne verra ni son succès ni ses expos. D’une plume tendre, Gaëlle Josse lui donne la lumière qu’elle n’a jamais connue. Émouvant. »
Bernard Babkine, Marie France
« Le récit rêvé d’une artiste éprise d’absolu. »
Nathalie Six, Avantages
« Gaëlle Josse prend sur le vif la discrète Vivian Maier. Elle essaie de comprendre les pourquoi de cette vie étrange. Avec toute la poésie de sa langue et toute la sagacité de sa formation de psychologue, elle éclaire le mystère Maier. »
Jeanne Thiriet, Pleine vie
« Un éblouissant roman. Une langue délicate, majestueuse, simple, qui cache une grande maîtrise. »
Geneviève Simon, La libre Belgique
« Avec Une femme à contre-jour Gaëlle Josse apprivoise cette femme si douée pour l’effacement avec une grande finesse. »
Frédérique Brehaut, Le Maine libre
« À travers sa plume minutieuse et juste, Gaëlle Josse va, telle une bonne fée, ôter les haillons de l’histoire nimbant l’œuvre et le personnage de Vivian Maier pour la faire resplendir aux yeux du monde. Un livre aussi actuel que lumineux, qui vaut autant par ce qu’il révèle de notre société que par ce qui se lit en creux sur la place des femmes. »
P.-O. Lombarteix, La Nouvelle République du Centre-Ouest
« Avec l’optique de Gaëlle Josse, nous sommes saisis par le tourbillon de possibles jamais manichéens. Le geste consistant et lumineux de l’autrice consiste à déciller notre regard sans jamais restreindre le champ. »
Anne-Lise Remacle, Focus Vif
